On ne le répétera jamais assez : les habitants de Bizerte se sentent de moins en moins en sécurité. Depuis les événements du 14 janvier 2011, la ville est de plus en plus investie par des rastaquouères et de vieilles personnes, parfois de jeunes enfants qui quémandent dans la rue. Avec le nombre incalculable d’étals anarchiques, le cadre est devenu …